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En cas de symptômes, limitez les contacts à risque et portez un masque. De plus, il faut consulter un médecin généraliste ou prendre rendez-vous en CeGIDD. Le diagnostic s’établit par observation des lésions et symptômes physiques, et est confirmé par un test PCR (prélèvement dans la bouche et dans la gorge).
Un malade est contagieux dès l’apparition des symptômes jusqu’à la cicatrisation complète des boutons. De plus, le sperme peut être contaminant jusqu’à huit semaines après l’infection. Il faut éviter au maximum le contact entre les boutons et les yeux, ou les autres parties saines du corps. Cela risquerait de créer des lésions supplémentaires ou d’abîmer la cornée.
Si le diagnostic est avéré, le malade doit effectuer une quarantaine de 3 semaines.
Il est essentiel d’effectuer une quarantaine stricte, sans contact physique avec d’autres personnes. De plus, il ne faut pas partager sa vaisselle, son linge ou ses ustensiles de toilette. Enfin, il ne faut pas toucher les animaux domestiques, de risque qu’ils deviennent un réservoir du virus. Si un contact avec d’autres personnes est absolument nécessaire, il faut porter un masque, couvrir ses boutons et ses lésions avec des vêtements et se laver les mains avant de toucher des objets partagés.
Pour plus d’informations et de conseils sur la prise en charge de la variole du singe, rendez-vous sur le site de l’ARS.
En cas de doutes sur une possible contamination ou de questions sur le virus et la maladie, une ligne d’écoute gratuite, anonyme et confidentielle, appelée « Monkeypox Info service” est accessible tous les jours de 8h à 23h au 0 801 90 80 69.
Entre humains, le virus de la variole du singe se transmet par contact direct avec les vésicules, lésions cutanées, croûtes, ou muqueuses de la personne malade. Les gouttelettes (salive, éternuement, postillons) peuvent également être contaminantes.
Tout les rapports sexuels, avec ou sans pénétration présentent des risques de contamination. De plus avoir plusieurs partenaires sexuels augmente le risque d’être exposé au virus.
Le virus de la variole du singe n’est pas considéré comme une IST. Cependant, les rapports sexuels, notamment parce qu’ils réunissent plusieurs conditions de contamination, augmentent le risque d’être exposé au virus, puis contaminé.
La contamination peut aussi se faire via l’environnement du malade, notamment par contact avec la literie, les vêtements, la vaisselle, ustensiles de toilette, sextoys, ou le linge de bain de celui-ci. Ainsi, il est important pour les malades de respecter un isolement strict de 3 semaines.
En Afrique centrale, ou de l’Ouest, l’homme peut aussi s’infecter au contact de rongeurs ou de singes, sauvages ou en captivité.
Bien que tout le monde puisse être infecté par le virus, la majorité des cas reportés concerne principalement les Hommes ayant des rapports sexuels avec les Hommes (HSH)
Pour plus d’informations sur la vaccination, rendez-vous sur vaccination info service.
Pour suivre les dernières évolutions de l’épidémie, consultez Santé Publique France.
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