Le Crips Île-de-France s’engage pour la promotion de la santé des jeunes du service national universel

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Le Service national universel (SNU) est un dispositif d’engagement volontaire autour de la cohésion sociale, d’une durée de 12 jours. Les jeunes volontaires sont invités à échanger autour de nombreux sujets, de créer du lien et de s’engager. Le Crips Île-de-France a participé aux sessions de 2023, l’occasion pour nos équipes de faire de la prévention directement auprès des jeunes ! Read More

Service national universel : et si c’était une occasion de faire de la prévention ?

Créé en 2019, le service national universel (SNU) est un dispositif d’engagement volontaire autour de la cohésion sociale. Proposé à ce jour à des groupes de jeunes volontaires âgés de 15 à 17 ans, le SNU a pour vocation de promouvoir l’engagement des jeunes sur une diversité de sujets et d’enjeux collectifs : protection de l’environnement, citoyenneté, solidarité, éducation… Et promotion de la santé !

Articulé en trois phases, le SNU propose, entre autres, un stage de cohésion de 12 jours dans un département différent de celui du domicile des jeunes, pendant lequel sont proposées diverses activités physiques ou pédagogiques. 

Le Crips Île-de-France a participé aux sessions de février 2023, organisées par les PEPS du 94 (association pour le droit et l’accès de tous à l’éducation, la formation, la culture, les loisirs, la santé et la vie sociale) à Cachan, et du 77 à Sourdun.

 

 

Une place pour la promotion de la santé à double entrée

Auprès des encadrants : une formation a été dispensée aux tuteurs et tutrices des jeunes sur le stage, afin de renforcer leurs capacités à accompagner les enjeux de santé mentale.

Ainsi, 3 formations ont été réalisées sur les deux sites de Cachan et Sourdun.

Auprès des jeunes : ce fut l’occasion de renforcer la place de la santé parmi leurs perspectives d’engagement, et d’en montrer une facette qui ne soit pas connectée au secteur du soin, mais de la promotion de la santé. Les cahiers engagés ont servi d’outils lors des 12 ateliers réalisés auprès des jeunes à Sourdun.

Réseaux sociaux, discriminations, accès aux droits et aux soins, égalité femmes/hommes, santé mentale et santé sexuelle, addictions ; les formations auprès des jeunes portaient sur des sujets variés en promotion de la santé et avaient vocation à renforcer aussi bien leurs connaissances sur les thématiques que leur posture de pairs sur des enjeux de santé qui peuvent concerner leur entourage. Les jeunes retournent dans leurs départements de domicile équipés d’un ou plusieurs cahiers engagés et pourront essaimer, de manière formelle ou informelle, les connaissances acquises pendant le séjour.